L'homme piéger devient femme
Chapitre 3
Après une nuit de calvaire ou j'avais à peine fermer l'oeil, très pensif à ce qui venait de m'arriver, j'avais réussi à trouver une position de coter pour être mieux installer dans cette petite cage.
Je ne savais pas l'heure qu'il étais la pièce n'avais aune fenêtres, mais soudain la porte de la pièce s’ouvrit, elle étais la cette femme qui marcha vers moi, habiller d'une nuisette rouge qui dessiner parfaitement ses hanches, la vue de ses cuisse lisse provoquas chez moi une érection, qu'elle remarqua aussi tôt ! " et bien alors tu est contente de me voir on dirais ! Mais ça ne vas pas du tout tu ne vas pas devenir tout dur à chaque fois que tu me vois hahaha ! Mais ne t'inquiète pas aujourd'hui on vas y remédier ! Je reviens tout de suite", elle sortie de la pièce en laissant la porte ouverte.
Une demi-heure plus tard elle revient habiller cette fois d'une tenue d'infirmière sexy et elle c'était maquiller sont visage étais doux lisse, on aurais dis une ange, avec un rouge à lèvres vif, elle avait rapporter avec elle un verre d'eau et elle tenez quelque chose dans ça main. Elle ouvrit ma cage en m'ordonnant de sortir, ce que je fis sans broncher, j'étais heureux de pouvoir sortir de la, mais ma joie fus de courte duré. Elle m'agrippa les cheveux d'une main ferme, " Maintenant je vais enlever ton bâillon mais fais attention le moindre mot qui sorte de ta bouche et tu recevra 100 coup de bâton sur tes misérable couilles; a tu compris ?!" je hocha la tête pour dire oui, " bien et tu vas m'avaler ça " dit-elle en ouvrant la main qui était pleine de médicament, j'ai immédiatement essayer de reculer, devant la vue de c'est médicament, elle voulait me droguer mais pourquoi ? Mais ça main ferme sur mes cheveux m’empêcher de reculer. " Et bien alors tu crois que tu pourras t'en échapper ?" elle enleva mon ballgag à peine celui-ci enlever un "non, pitié !! " sorti de ma bouche, sont visage et devenus très colérique elle fronça les yeux, attrapa mes bourses violemment ce qui me fis crier et d'un seul coup me plaça cette fois si un écarteur de mâchoire dans la bouche, qu'elle actionnas et me fis ouvrir la bouche en grand comme chez les dentiste. "Tu veux la jouer à la dur très bien, je vais te les faire prendre de force et comme tu ne ma pas obéis en parlant, tu vas prendre tes 100 coup de bâton !", je n'est pus répondre que " itié, ardon ". Elle fourras les médicaments dans ma bouche, pris mon visage en main pour le lever et me força à prendre le verres d'eau ce qui naturellement me fis avaler les médicament.
Après m'avoir fais avaler ces médicament, elle me rattacha comme hier sur la chaîne qui pendais au plafond avec la laisse attacher au sol, "bien voila ta punition, sale petite catin !" et infligea un violent coup de bâton sur mes fesses, ce qui me fis naturellement crier , elle ne s'arrêtas pas; chaque coup était atroce et plus elle en mettais plus ça fessais mal. Dans ma tête je me disais que ça n'était pas possible que ce n'était qu'un cauchemars, j'allais me réveiller dans mon appart, il n'était pas si mal après tout, mais la douleur me rappelais que c'était bien réel.
Vers la fin de ma punition je santé mes jambes s'engourdir et j'étais soudain très fatiguer que-ce qu'elle m'avais donner ? Des calmants ? Des drogues ? Je ne sais pas. Les coups ce sont arrêter j'avais mit de la bave partout sur le sol, j'étais à moitié dans les vapes entre la grande douleurs et les médocs ça m'avais bien ramollie. Elle ce mis devant moi métas sont visage en face du mien et me dit "maintenant les choses sérieuse vont commencer" et ce mordis la lèvres, j'avais lu dans un magasine que quand une femme ce mordais la lèvre c'est qu'elle étais désireuse, c'est donc qu'elle prenais sont pieds à m'infliger des torture et à faire de moi ça choses.
Elle me détachas de la chaîne et m'enlevas mes entrave au pieds et au mains, peut être j'aurais pu tenter de m'enfuir mais j'étais bien trop faible, elle m'aurais sens doute maîtriser et ça aurais était repartie pour une punition ce que je voulais à tout pris éviter, je fus complètement déshabiller. Elle me plaça alors sur la chaise médicale qui écarter mes jambe et elle sangla tout mon corps. "bien tu est prête !". Un ding dong retentis dans la maison " AH ! timing impeccable" Elle sortie de la pièce. 10 minutes plus tard elle revenez accompagnée d'une autre femme équiper d'une mallette "Alors c'est-elle ta nouvelle servante ? " prononça la femme mystérieuse "oui c'est-elle tu peux commencer je lui et fais prendre les premier médicaments !", "et bien c'est partie pour anesthésie !". Elle sortie une aiguille de ça mallette et me la planta dans l'épaule et en quelque instant je suis partie dans un profond sommeille.
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